témoignages des chrétiens
Enfin, j’ai trouvé une vraie Église Par Li Yinghua, Corée du Sud Note de l’éditeur : Ces dernières années, un grand nombre de frères et sœurs qui croient vraiment au Seigneur ont très clairement senti que leurs Églises sont de plus en plus délaissées et que leurs pasteurs prêchent toujours sur les mêmes vieux thèmes qui ne peuvent pas résoudre les difficultés concrètes des gens. Les frères et sœurs deviennent faibles et négatifs, et vivent dans le péché. Ils ne...
Un soir, j’étais très heureux de voir Frère Liu ouvrir une session sur Skype. Je me suis souvenu que Frère Liu croyait au Seigneur depuis de nombreuses années et que dans le passé, il rendait toujours service dans l’Église.
Je suis née dans une famille pieuse et j’ai beaucoup de parents prédicateurs. Depuis mon plus jeune âge, j’ai suivi mes parents dans la foi dans le Seigneur. En grandissant, j’ai adressé une prière au Seigneur : si je pouvais trouver un mari croyant au Seigneur, je m’offrirais avec lui pour servir le Seigneur.
Note de l’éditeur : Es-tu encore en train de te débattre dans l’atroce souffrance du péché ? Es-tu découragé et déçu parce que tu vis pris au piège d’un cycle alternant péché et repentir ? Que devons-nous faire pour échapper à l’esclavage du péché ? J’espère que la lecture de cet article vous sera utile
En novembre 1982, toute notre famille a émigré aux USA. Comme nous avions tous la foi dans le Seigneur depuis la génération de mon grand-père, nous avons trouvé une église chinoise dans le quartier chinois de New York, peu après notre arrivée aux États-Unis, pour pouvoir aller à la messe.
J’ai suivi mes parents dans leur croyance au Seigneur depuis mon jeune âge, et à présent, la vieillesse me guette. Bien qu’ayant cru au Seigneur toute ma vie, le problème de savoir comment me débarrasser du péché et accéder au royaume des cieux constituait une énigme insoluble qui me causait un désarroi permanent, avec le sentiment d’être perdu et affligé.
Quand j’étais petite, j’étais une enfant intelligente et raisonnable, si bien que j’avais toujours droit à l’attention aimante de mes parents, du reste de ma famille et de mes amis. Comme j’avais toujours de bonnes notes à l’école et que j’étais aimable et bon enfant, mes maîtres et mes camarades de classe m’aimaient bien.